Nicolas de Staël, Face au Havre

Nicolas de Staël, Face au Havre
Nicolas de Staël, Face au Havre

samedi 27 avril 2013

Paraphrase de Dryden

Puisse la musique, pour un instant, rien qu’un instant, chasser ta peine, t’apaiser jusqu’à la surprise, toi qui méprisais les plaisirs et qu’Alecto stupéfia en délivrant les morts de leurs chaînes, tandis que pleuvaient les serpents de sa tête, que le fouet lui tombait des mains.

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