Ils hurlent sur des écrans muets les assassins du sens. Tout sent la mort, décidément, n'étaient les perce-neige et les pointes des futures jonquilles. Nous t'espérons, faire daffadill, le temps passe et ton soleil manque, au moins reviendra-t-il nous enchanter. Ce qui est sans retour possible, la vie même insultée, ce qui nous hébète, ce qu'on nous inflige, le fascisant goût pour la mort se répand, et je pense à Miguel, jadis, à Salamanque, l'intelligence exécrée par de jeunes brutes en chemise. Reviens, faire daffadill, nous te pleurerons quand fanera ton soleil, craignant que ce soit le dernier.
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