Nicolas de Staël, Face au Havre

Nicolas de Staël, Face au Havre
Nicolas de Staël, Face au Havre

lundi 17 janvier 2011

Début de la fin (fin)

Alors, au retour tu t’es mis sur le lit de repos, tu t’es lové, et quand je suis redescendu, tu pleurais, je t’ai pris dans mes bras, j’ai absorbé tes sanglots je me suis inventé calme et douceur, je t’ai parlé comme à mon neveu quand il a du chagrin, je savais ce que tu allais me dire, je t’ai calmé pour que tu puisses le dire, tu as balbutié « je crois que c’est fini » et c’était fini en effet.

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