Il fera chaud ce jour, j'ai fermé les volets pour garder la fraicheur, comme je l'avais appris en Espagne jadis, en vacances: on se levait tôt, on allait au marché, on rentrait faire la sieste, pour ne sortir qu'au paseo, diner tard, se coucher quand enfin l'air revenait. A Casa, on versait de grands seaux sur les carrelages de septembre, quand l'été n'en finissait pas. Je n'en suis pas là, mais j'ombre la maison basse tapie dans le bocage, le soleil est monté d'un cran, il faut s'en garder, attendre la pluie promise pour la nuit.
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